les plaisirs de Pampam

Catégories : Rencontres LIBERTINS candaulistes Femmes rondes Plaisir des yeux Libertins
il y a 12 ans

*** Une envie pressente que je retiens avec ma main entre les cuisses, parce qu’en dehors de ma couette il fait froid. ..Et voilà que je découvre toute jeune, je ne sais plus quand exactement, que dans ce lieu que l’on dit si secret, une fente humide où mes doigts glisses, me procurent du plaisir. Je commence à caresser, à explorer cette fente chaude, toujours plus profond. Je sens une chaleur envahir mon corps. Mon cœur s’accélère. Quel plaisir ! Je me sens bien, je me fais du bien ! Ma main continue l’exploration de ce lieu si intime et plus ma main se fait curieuse plus le plaisir est grand, jusqu'à l’extase…. Et les matins suivants, toujours une envie pressente a retenir. De nouveau, avec conscience cette fois, le plaisir de mettre sa main pour retenir cette envie Et les matins suivants encore et encore. Ma main se fait plus précise et recherche toujours la manière la plus délicate de titiller ce clito qui s’enflamme et se réjouit, dans l’intimité de mes draps. Je découvre la jouissance, l’envie de se faire jouir … En grandissant, j’aime me retrouver seule dans les bois, autour de chez moi ; je m’installe dans un coin tranquille, la nature pour seul témoin de mes fantasme, de mes caresses et de ma jouissance. Ma main dans la culotte à la recherche d’un moment de bonheur inavoué. La je sais que je ne serai pas dérangée, j’ai tout mon temps. J’aimerais tant me balader nue. Sentir l’air sur mon corps…
Ce n’est plus la découverte de son corps, à ce niveau là ; mais belle et bien ce que l’on appelle une salope, une chienne, n’est-ce pas ? mais j’aime çà…. Je ne pense pas avoir un jour trouvé que mes pensées étaient mauvaises, salles ou je ne sais quoi d’impures. Mon corps me demandait du plaisir ou plutôt, mon être le plus profond demandait du plaisir et cela passé par le plaisir charnel. La caresse est une poésie, dont mon âme se délecte, et plus je grandi plus la poésie est douce à mon âme. La proximité de la nature, peut être ?
Comme un animal…attend sa caresse, et plus encore. La chaleur au plus profond de mon être appel. La chienne que je suis attend son mâle. Le mâle qui s’introduira au plus profond de ma croupe, et qu’il fera tressaillir de plaisir. La première fois que la tige charnue d’un mâle en rut s’introduit dans ce gouffre humide, rien de bien agréable pour le chienne que je suis …la douleur, le feu, la surprise !!! Rien de toutes ces caresses passées, prodiguées avec tendresse au fond de mes draps.
Mais toujours au aboie, dans l’espoir qu’une fois encore, je connaisse cette immense jubilation qui était la mienne lorsque mes mains s’aventuraient dans la moiteur de mon sexe. Des fantasmes qui font gonflés mon désir au plus profond de mon être. Ces seins tendus aux pointes rouges d’envi. Et la douce illusion qu’un Conquistador ouvre la brèche d’un plaisir sans retenus. S’en ai suivi des amours, sans connaître le goût suave d’une montée au 7ème ciel ; Juste une barre gonflée de désir entrant et sortant. Sans jamais oser parler de ces fantasmes qui me faisait rêver tous les jours et qui me permettaient de croire que ces actes intimes pouvaient avoir un gout plus subtil et peut-être plus fou !!!! Imaginer que l’on se serve de mon corps, comme d’une chose. Remplir cette fente de je ne sais quoi ; triturer ces mamelles dont j’ai honte, parce qu’elles sont volumineuses… jusqu'à la douleur. Je ne pense pas en ce moment que ces mamelles feront la jouissance d’un mâle. *

Pampam

Cette ressource n'a pas encore été commentée.
Publicité en cours de chargement